This sculpture is one of many in the little town of Weikersheim on the Romantic Road in Germany. The second photo shows the environment. Can you see the sculpture?
Cette sculpture est une parmi d’autres dans la petite ville de Weikersheim sur la Route Romantique en Allemagne. La deuxième photo montre l’environnement. Est-ce que vous voyez la sculpture?
Category: Art
The Rottenbuch Abbey in Bavaria (above) is one of the best examples of German baroque while Wies is one of its finest examples of rococo.. Rococo or “Late Baroque”, developed in the early 18th century in Paris as a reaction against the grandeur, symmetry, and strict rules of the Baroque, especially of the Palace of Versailles. The style of rococo artists was ornate and used light colours, asymmetrical designs, curves, and gold.
L’abbaye de Rottenbuch en Bavière (ci-dessus) est un très bon exemle du baroque allemand alors que l’église de Wiess -ci-dessous) est l’un des plus beaux exemples du style rococo. Le rococo s’est développé au début du 18ième siècle à Paris, par opposition à la grandeur, la symétrie et les règles strictes du baroque, surtout du palais de Versailles. Le style des artistes rococo était très élaboré avec des couleurs pastels, des motifs asymétriques, des courbes et de l’or.
TSanta Maria della Croce is a basilica on the outskirts of Crema in Lombardy built in the Lombard Renaissance style where an apparition of the Virgin Mary is said to have helped Caterina degli Uberti, a woman from Crema fatally wounded by her husband on 3 April 1490 (he cut off her hand and part of her arm and then punched her in the back). Wishing to die in the Grace of God, she implored the help of the Virgin Mary who is said to have taken her to a nearby farmhouse. She was then moved inside the city walls where she died, after receiving the last rites and pardoning her husband. A simple wooden cross was placed in the woods where the murder took place but a series of miracles turned the site into a holy place and a sanctuary was built there. The photo below showing the appearance of the Virgin Mary was taken inside the church.
Santa Maria della Croce est un basilique à l’extérieur de la ville de Crema en Lombardie construit dans le style de la Renaissance lombarde sur le site d’une apparition de la Vierge Marie qui aurait aidé Caterina degli Uberti, une femme de Crema dont le mari lui donne des coups d’épée et l’ampute de la main droite et d’une partie du bras avant de la frapper dans le dos. Voulant les derniers sacrements, elle a demandé l’aide de la Vierge Marie qui l’aurait emmené dans une ferme à côté. Elle est ensuite transporté à l’intérieur des murs de la ville où elle décède après avoir pardonné son mari. Une petite croix en bois est placé dans le bois où le meurtre a lieu mais une série de miracles transforme le site en lieu saint et on construit un sanctuaire. La photo en dessous qui montre l’apparition de la Vierge Marie est prise à l’intérieur de l’église.
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As soon as I saw the title of this month’s theme day, I knew which photo I wanted to take even though I’ve already published it on these pages. However, I did go into Blois in the evening especially to take a “recent” shot. Called a cygne transpercé, this emblem was used by both Louise of Savoy and her daughter-in-law Claude of France. The symbolism is complicated and now poorly understood. It includes references to the white colour, meaning purity. Claude’s most commonly used emblem, the ermine, is also white. Louise often used wings because the word for wings, ailes, is pronounced like ‘L’, her initial. The meaning of the arrow is the most obscure part. It is probably linked to love, like Cupid’s arrows. When Louise uses it, it may refer to the loss of her husband. If this is the case then there is a link to the white colour of the swan, white being the royal colour of mourning. Louise sometimes used a swan emblem to refer to her daughter Marguerite too.
For other takes on the same theme from across the globe, click here.
Dès que j’ai vu le titre du thème ce mois-ci, je savais quelle photo je voulais prendre même si je l’ai déjà publiée auparavant. Mais je suis allée à Blois le soir pour prendre une photo “récente”. Cet emblème, le cygne transpercé, était utilisé par Louise de Savoie et sa belle-fille Claude de France. Le symbolisme est complexe et relativement obscur. Il comprend des références à la couleur blanche, symbolisant la pureté. L’hermine, l’emblème préféré de Claude, est également blanche, Louise utilisait souvent des ailes pour rappeler la lettre “L” de son nom. Le sens de la flèche est le plus obscur. Il y a probablement un lien avec l’amour, comme les flèches de cupidon. Lorsque Louise s’en sert, elle peut se référer à la perte de son mari. Si c’est le cas il y a un lien avec la couleur blanche du cygne, le blanc étant la couleur royale du deuil. Louise utilise parfois l’emblème du cygne en rapport avec sa fille Marguerite également.
Pour d’autres exemples du thème à travers le globe, cliquez ici.
Peek-a-boo – Coucou !
After publishing the photos of Ussé, I received an email from Margaret Smith Springwood, an Australian reader, with these two photos:
“I was in the little chapel [Chapel of the Immaculate Conception], turned to face the doorway and was startled to see this quite eerie face looking down at me from on high. I’ve not seen one, either before or since, and thought you might be interested, or indeed, be familiar with it.”
It is vaguely familiar from somewhere else. I am a little embarrassed to say that, although I spent some time in the chapel, I did not see it. Does anyone else know about it?
Après avoir publié les photos d’Usée, j’ai reçu un courriel de Margaret Smith Springwood, une lectrice australienne, accompagné de ces deux photos.
“J’étais dans la petite chapelle [Chapelle de la Conception de la Sainte Vierge], puis je me suis retournée pour faire face à la porte d’entrée. J’étais déconcertée de voir ce petit visage qui m’a fait tressaillir d’en haut. Je n’en ai pas vu d’autres, ni avant ni après, et j’ai pensé que cela pourrait vous intéresser ou même vous être familier”.
Ce visage m’est vaguement connu mais d’un autre lieu. Je suis un peu embarrassée de dire que malgré le temps que j’ai passé dans cette chapelle, je ne l’ai pas vu. Le connaissez-vous ?
Maison Picassiette
On the other end of the spectrum from Chartres Cathedral, just near the cemetary, is a most amazing place called Maison Picassiette. It is the work of Raymond Isidore, born in Chartres on 8th September 1900. When he was 29, Isidore, a cemetary sweeper, built a little house for himself, his wife and her two sons. When it was finished the next year, he started decorating it with wall paintings that he then started to cover with bits of glass and porcelain picked up during his work and walks in the nearby countryside. For the next thirty-four years, until his death in 1964, he devoted all his spare time to decorating first the inside, then the outside of his house.
When there was nothing left to decorate, he started on the paths and walls of the garden, later buying a small property next door to make a larger garden. He is nicknamed Picassiette because most of the mosaic pièces come from broken china and porcelain he found in the local dump. Picassiette is a play on words, from Picasso, the artist, assiette meaning plate and pique-assiette meaning scrounger (picking food from other people’s plates). Definitely worth a detour!
En contraste total avec la cathédrale de Chartres, tout près d’un cimetière, se trouve la fascinante Maison Picassiette. C’est l’œuvre de Raymond Isidore, né à Chartres le 8 septembre 1900. A l’âge de 29 ans, ce balayeur de cimetière, a construit une maison pour lui, sa femme et ses deux fils. Lorsqu’elle fut terminée l’année suivante, il a commencé à la décorer avec des fresques murales. Ensuite ils les a recouvertes de morceaux de verre et de porcelaine ramassés pendant son travail et lors de promenades dans la campagne autour. Au cours des trente-quatre années suivantes jusqu’à sa mort en 1964, il s’est consacré totalement à la décoration de sa maison, à l’intérieur d’abord et ensuite à l’extérieur.
Lorsqu’il n’y avait plus de surfaces à décorer il a commencé à recouvrir les allées et murs du jardin, achetant ensuite un petit terrain à côté pour faire un jardin plus grand. On l’a surnommé Picassiette en référence à Picasso et à la provenance de ses matériaux c’est-à-dire les bouts d’assiette récupérés à la décharge voisine. A ne pas manquer !
This month’s City Daily Photo theme is the beauty of simplicity. I love the simple lines of this little lead light window in my kitchen. The stone in the middle is a cabochon from Chartres Cathedral. When the previous owners heard that the cathedral was selling off cabochons left over during renovation of the cathedral’s 13th century stained glass windows famous for their luminous blue, they bought one and mounted it. The windows escaped damage from bombing during the First and Second World Wars because they were entirely dismounted and safely stored. I feel very privileged to own a tiny part.
For other takes on the theme, click here.
Le thème de City Daily Photo ce mois-ci est la simplicité. J’adore les lignes très simples de ce petit vitrail dans ma cuisine. La pierre au milieu est un cabochon qui provient de la cathédrale de Chartres. Lorsque les propriétaires précédants ont appris que la cathédrale vendait quelques cabochons qui restaient après la rénovation des vitraux du 13ème siècle célèbres pour leur bleu lumineux, ils en ont acheté un et l’ont monté. Les vitraux n’ont pas été endommagés par les bombardement pendant les premières et deuxièmes guerres mondiales car ils ont été entièrement démontés et entreposés. Je me sens très privilégiée de posséder cette toute petite partie du patrimoine.
Pour d’autres photos sur le même thème, cliquez ici.
Both the Taj Mahal (above) and the Red Fort in Agra (below) are made of white marble inlaid with precious stones, such as rubies (red), malachite and jade (green), tourmaline (red and orange), lapis lazuli (blue), onyx (black) and, mother-of-pearl which have stood up to the elements for more than 400 years. The same techniques are still used today by descendants of the same families of artisans to produce beautiful tables, plaques and vases.
Le Taj Mahal (ci-dessus) et le Fort Rouge à Agra (ci-dessous) sont en marbre blanc incrusté de pierres précieuses telles le rubis (rouge), la malachite et le jade (vert), la tourmaline (rouge et orange), le lapis lazuli (bleu),l’onyx (noir) et la nacre, qui ont résisté aux intempéries pendant plus de 400 ans. Les mêmes techniques sont encore utilisées aujourd’hui par les descendants des mêmes familles d’artisans pour produire des tables,plaques et vases magnifiques.
The Baywalk at Geelong provides a lovely walk along the shoreline but the best bit are the bollards which are the work of artist Jan Mitchell. Jan was commissioned by the City of Greater Geelong to transform old timbers and piles from a city pier, demolished in the 1980s, into over one hundred endearing figures reflecting the history of the area. Above and below are 4 bathing beauties reminding us of the beauty competitions in the 1930s. For more bollards, click here.
La promenade le long de la baie de Geelong est très agréable mais encore plus intéressants sont les bollards créés par l’artiste Jan Mitchell. Celle-ci a été mandatée par la ville de Greater Geelong pour transformer des vieilles piles en bois qui provenaient de la démolition d’une ancienne jetée de la ville dans les années 80 en plus d’une centaine de personnages très touchants qui reflètent l’histoire de la région. Les photos ci-dessus et ci-dessous montrent quatre beautés de plage qui nous rappellent les concours de beauté des années trente. Pour plus de bollards, cliquez ici
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Nambucca Heads’ fascinating street mosaic comprises some thirty metres of tiled artwork beside the footpath which passes in front of the Nambucca Heads Police Station. Artist Guy Crosley and a team of local volunteers scoured the district for cast off tiles, pottery, china and other knick-knacks which were then cleverly “embroidered” into the spectacular streetscape you can see today. The video below, although a little wobbly, gives a better idea than a photo.
La mosaïque de rue à Nambucca Heads qui fait 30 mètres de long, se trouve sur le trottoir devant la station de police de Nambucca Heads. L’artiste Guy Grosley et une équipe de volontaires locaux ont prospecté la région pour trouver des vieux carreaux, potterie, porcelaines et autres babioles qui ont été incorporés dans ce merveilleux tableau. La vidéo ci-dessous bien qu’un peu trouble, donne une meilleure idée de l’ensemble qu’une photo.