We cycled past this busy little garden on our way from Onzain to Veuves on Sunday. The windmill actually looks more like a pigeon house from the south of France. The second photo shows the house that belongs to the garden. Note the weathervane on the top of the roof on the left.
Nous sommes passés devant ce petit jardin bien peuplé en vélo dimanche entre Onzain et Veuves. Le moulin à vent ressemble plus à un pigeonnier du sud de la France; La deuxième photo montre la maison qui appartient au jardin. Notez la girouette sur le faîtage du toit à gauche.
Category: Flowers and gardens
The clematis had climbed 2/3 of the way up the holly before I realised what was going on – it was supported to grow on the wall of the garage on the right! But in fact its chosen path is much more exciting. The holly is also in flower which means we’ll have lots of red berries in the winter.
La clématite était déjà montée presqu’en haut du houx avant que je m’en aperçoive – elle était sensée couvrir le mur du garage à droite ! But en fait son chemin de choix est beaucoup plus sympathique. Le houx est également en fleur ce qui veut dire que nous aurons beaucoup de baies rouges en hiver.
When we left home today to cycle to Château de Chaumont (it’s been too cold up until now for much cycling), I was so enamoured of our wisteria that I decided that I would take photos of any other wisteria we passed on the cycle path. The results are below. Which is your favourite?
Lorsque nous avons quitté la maison aujourd’hui pour aller au château de Chaumont en vélo (il a fait trop froid jusqu’ici pour faire beaucoup de vélo) j’étais tellement amoureuse de notre glycine que j’ai décidé de prendre des photos de toutes les autres glycines sur notre itinéraire vélo. Les résultats se trouvent ci-dessous. Quelle est votre préférée ?
Not everyone in the world has come close enough to a lilac bush to inhale its heady fragrance. Some people don’t like to have it in their home, it’s so strong. Wisteria, which blooms at much the same time is more delicate. I love both.
For other takes on this month’s City Daily Photo Theme of smell, click here.
Tout le monde n’a pas été assez près d’un lilas pour sentir son parfum enivrant. C’est tellement fort qu’il y a des personnes qui n’aiment pas en avoir dans leur maison. La glycine, qui fleurit en même temps, est beaucoup plus délicat. J’adore les deux.
Pour d’autres contributions à la journée thème de City Daily Photo ce mois-ci – l’odeur – cliquez ici.
This used to be the prettiest clematis in our street in Les Grouëts – and I still love it – but you can see how luxuriant it was two years ago nearly two weeks earlier!
Autrefois cette clématite était le plus beau spécimen dans notre rue aux Grouëts – et je l’apprécie toujours – mais vous voyez ci-dessous combien elle était luxuriante il y a deux ans et presque deux semaines plus tôt.
Maison Picassiette
On the other end of the spectrum from Chartres Cathedral, just near the cemetary, is a most amazing place called Maison Picassiette. It is the work of Raymond Isidore, born in Chartres on 8th September 1900. When he was 29, Isidore, a cemetary sweeper, built a little house for himself, his wife and her two sons. When it was finished the next year, he started decorating it with wall paintings that he then started to cover with bits of glass and porcelain picked up during his work and walks in the nearby countryside. For the next thirty-four years, until his death in 1964, he devoted all his spare time to decorating first the inside, then the outside of his house.
When there was nothing left to decorate, he started on the paths and walls of the garden, later buying a small property next door to make a larger garden. He is nicknamed Picassiette because most of the mosaic pièces come from broken china and porcelain he found in the local dump. Picassiette is a play on words, from Picasso, the artist, assiette meaning plate and pique-assiette meaning scrounger (picking food from other people’s plates). Definitely worth a detour!
En contraste total avec la cathédrale de Chartres, tout près d’un cimetière, se trouve la fascinante Maison Picassiette. C’est l’œuvre de Raymond Isidore, né à Chartres le 8 septembre 1900. A l’âge de 29 ans, ce balayeur de cimetière, a construit une maison pour lui, sa femme et ses deux fils. Lorsqu’elle fut terminée l’année suivante, il a commencé à la décorer avec des fresques murales. Ensuite ils les a recouvertes de morceaux de verre et de porcelaine ramassés pendant son travail et lors de promenades dans la campagne autour. Au cours des trente-quatre années suivantes jusqu’à sa mort en 1964, il s’est consacré totalement à la décoration de sa maison, à l’intérieur d’abord et ensuite à l’extérieur.
Lorsqu’il n’y avait plus de surfaces à décorer il a commencé à recouvrir les allées et murs du jardin, achetant ensuite un petit terrain à côté pour faire un jardin plus grand. On l’a surnommé Picassiette en référence à Picasso et à la provenance de ses matériaux c’est-à-dire les bouts d’assiette récupérés à la décharge voisine. A ne pas manquer !