This was the view when we picnicked on our cycle route this evening. The 12th century church of Saint-Jacques-le-Majeur (Saint James the Greater) in the little village of Seillac in the Cisse Valley has bell-wall (rather than a bell-tower) which is unusual for this region.
Voici notre vue lorsqu’on a pique-niqué ce soir sur notre itinéraire vélo. L’église Saint-Jacques-le-Majeur dans le petit village de Seillac dans la vallée de la Cisse date du XIIe siècle. Elle présente la particularité d’un clocher-mur, très rare dans notre région.
Category: Villages
Princesse Bibesco
While we were walking in Ménars on Sunday, I saw a street sign that said “Princess Bibesco”. It led to a cemetary with a large mausoleum and I discovered more about this intriguing princess whose photo you can see below.
The daughter of the Prince of Chimay and Emilie Pellapra, Valentine was born in Ménars in 1839. Married at 22 to Prince Paul de Bauffremont, she obtained a legal separation but not a divorce. However, in 1875, she married Prince George II Bibesco in Berlin. Forced to pay heavy penalties to her first husband, she had to auction off Château de Ménars, inherited from her mother, in 1876. She died in Romania in 1914. Her daughter-in-law, Marthe Labovary, who married George Valentin III, son of Valentine and Prince Bibesco, was a well-known writer and was buried in Ménars in 1974, near the tomb of Emilie Pellapra.
Lorsqu’on se promenait à Ménars dimanche j’ai vu une rue qui s’appelle Princesse Bibesco. Elle mène au cimetière ayant un grand mausolée au milieu. J’ai appris l’identité de cette princesse au nom fascinant dont vous pouvez voir la photo ci-dessous.
Fille du Prince de Chimay et d’Emilie Pellapra, Vallentine naît à Ménars en 1839. Mariée à 22 ans au Prince Paul de Bouffrement, elle obtient la séparation de corps mais pas le divorce. Elle épouse néanmoins le Prince Georges 2 Bibesco à Berlin en 1875. Devant payer de lourdes pénalités à son premier mari, elle doit vendre aux enchères en 1876 le château de Ménars dont elle avait hérité de sa mère. Elle décède en Roumanie en 1914. Sa belle fille, Marthe Labovary, qui a épousé Georges Valentin, 3ème fils de Valentine et de Prince Bibesco, sera un écrivain reconnu et sera enterrée à Ménars en 1974, près du tombeau d‘Emilie Pellapra.
Just look at that sun and blue sky! It was 22°C today and we were back on our bikes for the first time this year. This was taken during our tea break opposite Cour-sur-Loire.
Regardez ce soleil et ce ciel bleu ! Il faisait 22°C aujourd’hui et nous avons chevauché nos vélos pour la première fois cette année. J’ai pris la photo pendant notre pause-thé en face de Cour-sur-Loire.
This original piece of architecture in the village of Macé has an interesting history. Pierre Hague bought the property in 1874 and made significant alterations. He added a belvedere formed by a dome made from 4 curvel panels, topped by a skylight surrounded by a circular balcony and covered with a copper roof in the shape of an onion dome.
Pierre Hague was both an artist and an eccentric. He took part in the Algerian military campaign of 1843 under the Duke of Aumel (4th son of Louis-Philippe). The turret was no doubt inspired by North African architectutre.
He commissioned the sculpted door below which is a reproduction of one of the doors in the François I wing of Blois Castle (note the salamander). It is typical of the neo-renaissance style of the Castel. The Latin inscription carved in pink marble beneath the lintel reads “Tandem quiesco” – Peace at last.
Cette construction avec son architecture originale se trouve dans le village de Macé. Son histoire est intéressante. Pierre Hague achète la propriété en 1874, la transforme et y ajoute un belvédère formé d’un dôme à 4 pans arrondis, coiffé d’un lanterneau entouré d’une balustrade et surmonté d’un toit en cuivre en forme de bulbe.
Artiste et homme très original, il avait fait les campagnes d’Algérie (1843) avec le duc d’Aumale (4ème fils de Louis-Philippe). Ce belvédère a sans doute été inspiré par l’architecture d’Afrique du Nord.
Il fait ouvrir la porte « sculptée » ci-contre. Elle reproduit l’une des portes de l’aile François Ier du château de Blois (remarquez le salamandre) et représente le style neo-renaissance de la maison. Sous son linteau est inscrite sur un marbre rose la devise latine « Tandem quiesco » – Enfin je me repose.
This magnificent dovecote was once part of the castle in Saint-Denis-sur-Loire. Unfortunately it is gradually disintegrating and it doesn’t seem that there is a project underway to save it.
Ce magnifique colombier faisait partie du château de Saint-Denis-sur-Loire. Malheureusement il est en train de s’écrouler et il ne semble pas de projet pour le sauver.
No, the sun did not shine today and the sky was not blue but I couldn’t bare taking another grey photo so I used this one that I took last week when we were having our thermos of tea and biscuits in La Chaussée Saint Victor looking at the spire of the church of the same name that you can see closer up below.
Non, le soleil n’a pas brillé aujourd’hui, le ciel n’était pas bleu, mais je ne supportais pas l’idée de prendre encore une photo grise. J’ai donc préféré celle-ci que j’ai prise la semaine dernière lorsque nous buvions notre thermos de thé avec les gâteaux secs à la Chaussée Saint Victor en regardant la flèche de l’église du même nom que vous verrez de plus près ci-dessous.
Around 1870, Baron de Graëb had a wooden Bedouin made to commemorate the visit of Abd-el-Kader, a prison-of-war on his way to Amboise.
The Baron had the sculpture put up on the roof of an old windmill he owned just outside the village of La Chaussée-Saint-Victor, on the road to Paris, so that visitors from the capital would recognise the turn-off to his house. The silhouette soon became familiar to the locals.
It didn’t take long to deteriorate, however, and was replaced in 1892 by a Zouave made by Amédée Charron, a sculpter from nearby Saint-Denis-sur-Loire. In January 1941, after the bombings, the Zouave had to be taken down, because part of his head was gone.
In 1948, after acquiring a new head sculpted by Madame Berger-Thibault, the daughter of Adrien Thibault, a well-known ceramic artist living in La Chaussée-Saint-Victor, the Zouave was exhibited in front of her museum up until 1987. It was then taken down and kept in storage, very delapidated after spending so many years in the open.
In 1999, the local association of history and popular traditions restored it.
Since then, it has been on show in the foyer of the town hall in La Chaussée-Saint-Victor, which is now its official custodien.
Aux environs de 1870, le Baron de Graëb fit réaliser un bédouin en bois, souvenir du passage et peut-être de l’hébergement d’Abd-el-Kader, prisonnier de guerre en transfert à Amboise.
Il le fit ériger sur le toît d’un ancien moulin qui lui appartenait, situé à la sortie de La Chaussée-Saint-Victor en venant de Paris, sur la gauche de la route Nationale, dans le but d’indiquer à ses visiteurs parisiens, l’endroit où il fallait tourner pour aller chez lui : sa silhouette devint familière aux Chausséens.
Délabré, il fut remplacé en 1892 par un Zouave, réalisé par Amédée Charron, sculpteur originaire de Saint-Denis-sur-Loire. En janvier 1941, après les bombardements, le Zouave dût être descendu, ayant perdu une partie de sa tête.
En 1948, doté d’une nouvelle tête sculptée par Mme Berger-Thibault, fille d’Adrien Thibault, céramiste renommé habitant la commune, le Zouave resta exposé devant son musée jusqu’en 1987. Il fût démonté et mis à l’abri, vu son état de délabrement après bien des années d’exposition.
En 1999, l’Association histoire et traditions populaires de la Chaussée-Saint-Victor le restaura.
Depuis il est exposé dans le hall de la mairie de la Chaussée-Saint-Victor : il en est le gardien.
Today, we went walking at La Chaussée Saint Victor, a town to the north-east of Blois. We really like these roofs seen from above. The following photo shows the front of the manor house which belongs to the municipality. However, I was not able to find out any more about it.
Aujourd’hui on s’est promenés à la Chaussée Saint Victor, une commune au nord-est de Blois. Nous avons bien aimé ces toits aperçus d’en haut. La photo suivante montre le devant du manoir qui appartient à la commune. Je n’ai pas pu en savoir plus.